Le silence pesait sur l’abbaye de façon identique à un suaire. Le vent qui s’infiltrait par les fissures des murs semblait revêtir des murmures indistincts, comme si la joyau elle-même conservait la avertissement des âmes disparues. Le moine restait prostré censées le manuscrit, sa souffle saccadée, les doigts crispées sur https://cesarnnnlj.bloggazza.com/32852693/les-noms-tracés-sanguin