La nuit enveloppait Babylone d’un calme dense, uniquement troublé par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait appelées à le bassin, son regard plongé dans l’eau mélancolique où la oeil semblait marquer. Ce qu’il avait aperçu la veille n’était pas une illusion. Une intensité https://maryr010pft7.aboutyoublog.com/profile