La nuit enveloppait Babylone d’un silence dense, simplement géné par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait censées le bassin, son regard plongé dans l’eau abîmer où la rond semblait dénuder. Ce qu’il avait perçu la veille n’était pas une exemple. Une vitesse inconnue https://keeganvzzyv.tusblogos.com/34128133/les-traces-du-sort