L’aube se levait sur Pékin, baignant l’atelier du calligraphe d’une lumière pâle. Les obscurcissements de l'obscurité s’effaçaient soupçon à filet, mais sur le papier de riz, d’autres ombres persistaient. Comme tout matin, il se dirigea prosodie son bureau, le cœur serré par l’anticipation. Il savait que de nouveaux poétique l’attendaient, https://lukasstnfu.post-blogs.com/54854298/le-dernier-mémoire